Phnom Penh / le bonheur tient dans peu de choses

La vie pourtant continue et bien heureusement. En témoigne le sourire de cette bouille innocente venu tout d'abord me vendre ses bracelets avec 3 de ses frères et sœurs. L'apât du gain vite étouffé par celui du jeu, il souriait par amusement que lui procurait la découverte du "selfie" alors que son petit frère pleurait car il n'arrivait pas à se faire sa place sur la photo. Une femme me libéra de cette étreinte : elle portait sur sa tête des paniers entiers de beignets au sucre. Curieux, joueurs et gourmands.

Guidé en Tuk-Tuk dans une circulation anarchique et chaotique, je finissais la journée au Temple bouddhiste principal, et au Musée contant la vie historique, artistique et religieuse (toutes liées entre elles) du pays.

Je pars maintenant au Nord Est perdu dans la jungle, encore truffé de mines à la frontière vietnamienne. On y parle d'éléphants, de lac dans un cratère, de cascades et d'ethnies minoritaires perdues dans les montagnes.